Ce 30 août 2024, à la foire Adjafi le salon des musiques Afro a ouvert le débat sur la.musique africaine et togolaise en particulier. C’est un grand panel.qui s’est déroulé.autour du thème : ” industrie musicale en Afrique, quelles perspectives…Load more

Ce 30 août 2024, à la foire Adjafi le salon des musiques Afro a ouvert le débat sur la.musique africaine et togolaise en particulier. C’est un grand panel.qui s’est déroulé.autour du thème : ” industrie musicale en Afrique, quelles perspectives et quelle marché pour les artistes togolais ? “.

La rencontre a mobilisé les acteurs du domaine à savoir artistes, promoteurs ou encore producteurs togolais sous le regard de l’artiste Béninois promoteur et producteur Richard Flash invité comme panéliste.

En effet ces derniers ont jugé utile de parler de leur métier et de voir dans quel sens il peuvent trouver la plus value.

Pour Richard Flash, l’artiste doit dans un premier temps soigner son œuvre en proposant de la qualité. Ce qui n’est malheureusement pas le cas de nos jours selon lui. ” Aujourd’hui, on fait beaucoup plus de la publicité à la médiocrité que de l’excellence alors qu’il y a des artistes excellents qui peuvent vendre l’image du pays à l’extérieur plus que chez eux . Mais on ne le fait plus aujourd’hui. Donc il y a beaucoup de paramètre…”

Au titre des panélistes figurent également d’autres acteurs comme le président de la fédération togolaise de musique Ariel Dassanou ou encore Ouro Agoro du ministère de la culture.

Alors que le président de la fédération de la musique togolaise a fait comprendre aux artistes que ” demain” il fera beau, il a invité ces derniers à être authentique dans leurs oeuvres afin de vivre pleinement de leur art. Il les a invité à véritablement prendre en compte cette identité culturelle qui aujourd’hui ouvre des portes à bon nombres d’artiste au cours des festivals que ce soit en Europe ou en Afrique.

De son côté, le représentant du ministère a invité les artistes à s’imprégner des nouvelles dispositions que le ministère met à l’endroit des artistes afin que ces derniers en tirent profit des avantages.

Présents lors de ce panel plusieurs articles et promoteurs ont des propositions au ministre de la culture afin que celle-ci travaille avec eux pour moderniser la musique togolaise en passant notamment par la digitalisation

Un petit classement des musiques Afro a montré que le Nigeria caracole en tête et ce pays a déjà fait une recette de 14 milliards en terme de vente.