La question de la lutte contre la drépanocytose n’a pas été du reste lors de la 72 session du comité régional de l’OMS pour l’Afrique. Comme plusieurs pays qui ont pris part à cette session, le Togo a exposé sa…Load more

La question de la lutte contre la drépanocytose n’a pas été du reste lors de la 72 session du comité régional de l’OMS pour l’Afrique.

Comme plusieurs pays qui ont pris part à cette session, le Togo a exposé sa stratégie pour lutter contre cette maladie bien qu’elle soit biologique et héréditaire.

Pour mener une lutte accentuée contre la drépanocytose, le Togo s’est doté d’un centre national de dépistage à l’université de Lomé qui permet à toute personne de connaître son électrophorèse pour empêcher le pire.

Sur ce sujet qui a fait objet de panel ce mardi 23 août 2022, la ministre des sports du Togo LIDI BESSI KAMA a partagé avec les autres délégués la stratégie du Togo. A l’entame de ses propos, elle a laissé entendre que la drépanocytose es une maladie biologique à fort impact social et économique.

“Sous l’égide de l’OMS plusieurs avancées ont été réalisées. Des avancées thérapeutiques pour améliorer la prise en charge des drepanocytaires. Mais nous l’avons tous bien compris que l’accessibilité à cette thérapie est onéreuses et est très limitée et pour notre part nous pensons que nous devons mutualiser nos efforts pour agir à travers une très bonne campagne de prévention qui doit viser en priorité les jeunes. Le sport se trouve au cœur de toutes ces actions. En utilisant ce canal, nous pouvons les conscientiser , leur parler de ce que c’est que la drépanocytose, de ces conséquences et comment faire pour l’éviter.” a laissé entendre la ministre

Il faut dire qu’à ce deuxième jour de la session, un autre panel sur les maladies mentales a été développé. Sur ce panel, les pays ont dans un premier temps exposé leur stratégie avec l’accompagnement de l’OMS avant d’énumérer les insuffisances et les approches de solution pour mettre fin à ce fléau.