Le Togo ne veut pas que son port autonome soit la plateforme des réseaux criminels internationaux. Pour garantir la sécurité à son port, le pays s’ouvre à toute compétence pouvant l’aider à sécuriser davantage son port. C’est dans ce contexte…Load more

Le Togo ne veut pas que son port autonome soit la plateforme des réseaux criminels internationaux. Pour garantir la sécurité à son port, le pays s’ouvre à toute compétence pouvant l’aider à sécuriser davantage son port. C’est dans ce contexte que le Togo a adhéré au projet multi -pays de coopération populaire “SEACOP” financé par l’Union Européenne.

Dans le cadre dudit projet le Haut Conseil pour la Mer a organisé du 27 juin au 1er juillet un a atelier de formation à l’endroit des agents de l’unité mixte de contrôle des conteneurs.

Une cérémonie à marqué la clôture de cette formation au cours de laquelle étaient présentes les autorités togolaises de la préfecture maritime et les représentants de l’Union Européenne.

Pour le représentant de l’UE, face à ces réseaux criminels, il est évident de renforcer les capacités d’identifier dune part les navires sensibles pouvant se livrer à ces trafics, et d’autre part de mettre en oeuvre des contrôles approfondis des navires.

” C’est l’objectif recherché par le projet SEACOP qui vise à soutenir les efforts des pays partenaires d’Afrique de l’Ouest, d’Amérique du Sud et des Caraïbes en vue de la constitution d’unités conjointes de contrôles portuaires s’appuyant sur des unités de renseignement maritime” a-t-il déclaré.

Au cours de cette formation, une douzaine d’agent issus de la police et de la gendarmerie ainsi que de la douane ont été formés.

Ces agents qui forment l’unité mixte de contrôle des conteneurs de Lomé sont désormais capable de fouiller un navire de façon efficace et organisée.

Il faut dire qu’à part cette formation, du matériel de sécurité individuel à été remis aux agents