Situé dans le canton de Kidjaboun, à environ 30 kilomètres de Guérin-Kouka, chef-lieu de la préfecture de Dankpen, le village de Tchangblim est reconnu pour sa forte production agricole. Grâce aux efforts du gouvernement en matière de développement socio-économique, le…Load more

Situé dans le canton de Kidjaboun, à environ 30 kilomètres de Guérin-Kouka, chef-lieu de la préfecture de Dankpen, le village de Tchangblim est reconnu pour sa forte production agricole. Grâce aux efforts du gouvernement en matière de développement socio-économique, le village bénéficie aujourd’hui d’infrastructures essentielles qui améliorent les conditions de vie des habitants.

(Vidéo tournée sur les lieux)

Parmi ces infrastructures, on compte quatre forages stratégiquement implantés : un au sein de l’école primaire publique, deux dans différents quartiers et un sur la Zone d’Aménagement Agricole Planifié (ZAAP). Ces installations, mises en place par l’État togolais, assurent depuis des années un accès fiable à l’eau potable pour les populations locales.

Cependant, malgré ces avancées, une vidéo récemment diffusée sur les réseaux sociaux tente de jeter le doute sur la réalité de l’approvisionnement en eau à Tchangblim. Elle met en scène une mare asséchée où des femmes ramassent du sable, insinuant faussement qu’il s’agit d’une source d’eau pour les habitants du village. Face à cette désinformation, les populations locales ont tenu à rétablir la vérité en affirmant qu’elles n’ont jamais eu recours à cette mare pour s’approvisionner en eau.

Dans un contexte national marqué par des défis sécuritaires croissants, il est essentiel que chaque citoyen adopte des comportements favorisant l’unité et la cohésion sociale, plutôt que de propager des informations erronées susceptibles de semer la division. Les Togolais doivent rester vigilants face aux manipulations sur les réseaux sociaux, où la désinformation peut parfois masquer la réalité des faits.

Les images prises autour des forages du village témoignent clairement de l’accès effectif des populations à l’eau potable, confirmant ainsi la solidité des infrastructures mises en place par l’État.