Aujourd’hui, de nombreuses femmes rejettent l’idée d’épouser un homme au chômage. Pour elles, un bon mari doit avoir une situation financière stable avant tout. Ce critère devient un obstacle au mariage, même si l’homme est bon, loyal et ambitieux. Pourtant,…Load more

Aujourd’hui, de nombreuses femmes rejettent l’idée d’épouser un homme au chômage. Pour elles, un bon mari doit avoir une situation financière stable avant tout. Ce critère devient un obstacle au mariage, même si l’homme est bon, loyal et ambitieux. Pourtant, dans la majorité des cas, les hommes ne posent pas cette exigence aux femmes. Ils épousent par amour, pas par statut professionnel.

Ce refus a des conséquences. Beaucoup de femmes préfèrent vivre des aventures avec des hommes « bien placés », pensant qu’ils leur assureront un avenir meilleur. Malheureusement, ces hommes ne cherchent souvent qu’une relation passagère. Ils ne veulent ni engagement ni responsabilités. Quand un enfant naît, ces femmes se retrouvent seules, abandonnées. Elles deviennent mères célibataires, non pas par choix, mais par déception.

Être mère célibataire est un défi. Élever un enfant seule demande une énergie constante. L’absence du père crée un vide. Un vide affectif, mais aussi éducatif. L’enfant grandit sans repère masculin. Il manque souvent d’équilibre. La mère seule ne peut pas toujours incarner les deux figures parentales à la fois. L’autorité parentale s’en trouve affaiblie, surtout à l’adolescence où la présence d’un père peut jouer un rôle essentiel.

Cette situation pourrait être évitée si certaines femmes acceptaient de voir au-delà du chômage. Un homme sans emploi aujourd’hui peut réussir demain. Ce n’est pas le travail qui fait la valeur d’un homme, mais sa vision, son caractère et sa détermination. En rejetant ces hommes, les femmes ferment la porte à des unions stables et durables. Elles prennent le risque de se retrouver seules avec un enfant non désiré par le père.

Il est temps que les femmes revoient ce comportement. Le mariage ne doit pas être un contrat économique, mais une union de cœurs et de volontés. Les hommes au chômage méritent aussi d’aimer et d’être aimés. Ils méritent de fonder une famille. L’avenir se construit à deux, pas sur la seule base du revenu. Accepter un homme en difficulté, c’est parfois faire le choix d’un bonheur solide et sincère.