Depuis quelques heures, le monde entier, et l’Afrique en particulier, connaît son nouveau Ballon d’Or continental. Il s’agit de l’international Lookman Ademola, qui succède à son compatriote Victor Osimhen, lauréat de l’année précédente. Pour de nombreux observateurs du football, l’Afrique…Load more

Depuis quelques heures, le monde entier, et l’Afrique en particulier, connaît son nouveau Ballon d’Or continental. Il s’agit de l’international Lookman Ademola, qui succède à son compatriote Victor Osimhen, lauréat de l’année précédente.

Pour de nombreux observateurs du football, l’Afrique a, pour une fois, donné une leçon de morale à l’Occident, qui se positionne souvent comme une grande donneuse de leçons.

En effet, plusieurs analystes estiment que l’Europe, et France Football en particulier, a manqué de transparence lors de l’attribution du dernier Ballon d’Or mondial. Selon eux, le véritable meilleur joueur, Vinicius Junior, a été injustement privé de ce titre, qui a finalement été attribué à Rodri, joueur de Manchester City. Malgré les performances exceptionnelles de l’attaquant brésilien du Real Madrid, des intérêts financiers semblent avoir influencé la décision, éclipsant ainsi un choix plus honnête.

Face à cette situation, peu de personnes osent dénoncer ces pratiques. Certains, regrettant leur rôle dans ce processus biaisé, ont même présenté leur démission au lendemain de l’annonce du vainqueur. Par ailleurs, la réaction d’autres acteurs impliqués, niant toute responsabilité, a renforcé le sentiment de méfiance à l’égard de l’organisation.

Heureusement, la FIFA s’est démarquée de cette controverse en honorant, dans les dernières heures, le véritable mérite de Vinicius Junior. Cette décision symbolique constitue une forte leçon de morale, que certains semblent avoir enfin comprise.

Ainsi, Vinicius Junior a reçu la reconnaissance qu’il méritait, marquant un geste fort pour l’intégrité du football mondial.